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Maison Pralus

Les barres infernales Pralus

11,00 €

Eloge de la gourmandise, les barres infernales de Pralus sont exceptionnelles. Elles allient le plaisir quelque peu régressif de la grosse portion (les toblerones d'aéroport n'ont qu'à bien se tenir) et la qualité incroyable du chocolat et de ses ingrédients.

Coup de coeur pour la pistache et le nougat qui sont de vraies merveilles !

Eloge de la gourmandise, les barres infernales de Pralus sont exceptionnelles. Elles allient le plaisir quelque peu régressif de la grosse portion (les toblerones d'aéroport n'ont qu'à bien se tenir) et la qualité incroyable du chocolat et de ses ingrédients.

Coup de coeur pour la pistache et le nougat qui sont de vraies merveilles !

Les conseils de la maison

Barres infernales de 160 grammes, vendues à l'unité : Barre infernale

Pistache : Pâte de pistache (pistache, sucre, beurre de cacao), pistaches entières, chocolat 75% (pur beurre de cacao, sucre, cacao, lécithine de soja sans OGM

Barre infernale Lait : Praliné (noisettes et amandes torréfiées, sucre, chocolat 75%, vanille), noisettes, chocolat 45% (sucre, pur beurre de cacao, lait en poudre, cacao, lécithine de soja sans OGM

Barre infernale Nougat : Sucre, miel de Mars, amandes, pistaches, glucose, blanc d’œuf, vanille de Madagascar, chocolat 45 % (sucre, pur beurre de cacao, lait en poudre, cacao, lécithine de soja sans OGM)

Barre infernale Noire (75%) : Praliné (noisettes et amandes torréfiées, sucre, chocolat 75%, vanille), amandes, chocolat 75% (cacao, sucre, pur beurre de cacao, lécithine de soja sans OGM

Barre infernale Orange : Praliné (noisettes et amandes torréfiées, sucre, chocolat 75%, vanille), amandes, chocolat 75% (cacao, sucre, pur beurre de cacao, lécithine de soja sans OGM), orange confite, Grand Marnier.

A conserver dans un endroit sec et frais entre 16 et 18°C.

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François Pralus : Maître Chocolatier

Auguste Pralus a offert à la France gourmande, sa divine spécialité briochée, la Praluline, dans les années 50. Le pâtissier installé à Roanne, reconnu à l'échelon national pour ses grands talents de pâtissier, ses pralines roses et autres douceurs, laissera la main en 1988 à son fils François.

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